On peut venir au cheval un peu par hasard, on n’y reste pas sans une vraie passion. Moniteur d’équitation, cavalier d’entraînement, groom, éleveur ou accompagnateur de tourisme équestre, exercer un des métiers de la filière équine nécessite, la plupart du temps, du travail (beaucoup), une disponibilité certaine et un investissement total. Les journées sont longues, on travaille dehors par tous les temps, les jours fériés n’existent pas. Mais c’est aussi, en revanche, la possibilité de vivre sa passion au quotidien. Un choix de vie…
100 métiers
De palefrenier à vétérinaire équin, en passant par maréchal-ferrant, on estime à plus de 100 le nombre de métiers exercés dans la filière équine. Mais, à eux seuls, une dizaine d’entre eux représentent 85 % des emplois du secteur. Sur le podium : palefrenier soigneur, moniteur d’équitation et cavalier d’entraînement.
77 000 emplois
L’ensemble du secteur génère près de 77 000 emplois, dont plus de 46 000 emplois directs en contact avec les équidés, et près de 17 000 emplois dans les seuls centres équestres. Le quart Nord-Ouest de la France concentre plus de la moitié des emplois.
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